LES LARMES D’IRENE

    14,00 

    Hervé CHAYETTE
    Un des 200 exemplaires brochés de 164 pages (132 x 215).
    « Ce qu’elle avait de plus attirant, c’était une paire de seins gros et fermes, couronnés d’aréoles roses larges comme des soucoupes au centre desq uelles se dressaient des mamelons longs et puissamment érectiles. Ils devinrent plus turgescents encore quand Irène entreprit de les sucer, longuement, l’un après l’autre. Elle travaillait de la main celui qui n’était pas entre ses lèvres, de sorte que l’excitation de Ruth était bifide. Son sexe intouché réclamait désespérément la caresse, mais Irène s’attardait avec perversité sur les seins. Enfin, sa bouche descendit. Sa langue effleurant à peine le bouton, Ruth eut un spasme violent et gémit. »

    Les éditions Astarté, plutôt coutumières des « beaux livres » et « livres d’art », n’ont pas pour vocation de publier de fictions. Toutefois, née dans l’enceinte de l’Hôtel des ventes de la rue Drouot, la relation amicale établie avec Hervé Chayette nous a poussé à découvrir son dernier manuscrit révélant un pan insoupçonné du monde de l’art.
    Sa singularité inspirée et le succès de la publication du Marteau de Chair (Astarté, 2012) nous ont encouragés à commettre l’exception. On ne peut résister au charme sulfureux de ce thriller érotique qui, situé dans le monde international des enchères, évoque puissamment les frasques aristocratiques du marquis de Sade et celles des protagonistes des Onze mille verges d’Apollinaire.
    Lisez et enchérissez ! Pour nous, c’est adjugé : Les larmes d’Irène se devaient de couler au grand jour afin de mouiller plus que vos yeux.

    LES LARMES D’IRENE
    Hervé CHAYETTE

    Un des 200 exemplaires brochés de 164 pages (132 x 215).
    « Ce qu’elle avait de plus attirant, c’était une paire de seins gros et fermes, couronnés d’aréoles roses larges comme des soucoupes au centre desq uelles se dressaient des mamelons longs et puissamment érectiles. Ils devinrent plus turgescents encore quand Irène entreprit de les sucer, longuement, l’un après l’autre. Elle travaillait de la main celui qui n’était pas entre ses lèvres, de sorte que l’excitation de Ruth était bifide. Son sexe intouché réclamait désespérément la caresse, mais Irène s’attardait avec perversité sur les seins. Enfin, sa bouche descendit. Sa langue effleurant à peine le bouton, Ruth eut un spasme violent et gémit. »

    Les éditions Astarté, plutôt coutumières des « beaux livres » et « livres d’art », n’ont pas pour vocation de publier de fictions. Toutefois, née dans l’enceinte de l’Hôtel des ventes de la rue Drouot, la relation amicale établie avec Hervé Chayette nous a poussé à découvrir son dernier manuscrit révélant un pan insoupçonné du monde de l’art.
    Sa singularité inspirée et le succès de la publication du Marteau de Chair (Astarté, 2012) nous ont encouragés à commettre l’exception. On ne peut résister au charme sulfureux de ce thriller érotique qui, situé dans le monde international des enchères, évoque puissamment les frasques aristocratiques du marquis de Sade et celles des protagonistes des Onze mille verges d’Apollinaire.
    Lisez et enchérissez ! Pour nous, c’est adjugé : Les larmes d’Irène se devaient de couler au grand jour afin de mouiller plus que vos yeux.

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