PASCIN

    12,00 

    Alexandre DUPOUY
    Un ouvrage relié cartonné avec jaquette de 96 pages (12.5 x 21 cm)
    “- Ne vous retournez pas ainsi… Continuez à suivre le corps du pauvre Pascin ; Oui je vous laisse ; je reste ici avec son image immatérielle. Avec Chagall mystique, sa fine compagne à ses côtés, avec Kisling, et Papazoff qui sont de la même lignée formidable, avec tous ses copains et copines, les yeux rougis, André Salmon et Marcel Sauvage le visage bouleversé, les modèles de tout poil et de toute couleur, les marchands de tableaux, même, dont la douleur se tempère de la hausse brusque que vaut ce bond dans l’éternité… Oui, Zadkine, excuse-moi : sculpteur, vous avez le culte de la matière et des formes, dépouilles mortelles que vous suivez, avec l’espoir d’une survivance, d’une transfiguration, “tel qu’en lui-même, enfin l’éternité le change” ; moi, je le vois encore, hanté par la chair, par l’hallucination du désir, des jambes écartées, des femmes étalées, des croupes obscènes, appel magnifique et terrible de la bête humaine, à quoi répondait triomphalement sa grande et simple bonté.“
    W. Mayr, Souvenirs sur Pascin.

    PASCIN
    Alexandre DUPOUY

    Hardcover jacketed book, 96 pages, 12,5 x 21 cm, published by Parkstone, New York
    “- Ne vous retournez pas ainsi… Continuez à suivre le corps du pauvre Pascin ; Oui je vous laisse ; je reste ici avec son image immatérielle. Avec Chagall mystique, sa fine compagne à ses côtés, avec Kisling, et Papazoff qui sont de la même lignée formidable, avec tous ses copains et copines, les yeux rougis, André Salmon et Marcel Sauvage le visage bouleversé, les modèles de tout poil et de toute couleur, les marchands de tableaux, même, dont la douleur se tempère de la hausse brusque que vaut ce bond dans l’éternité… Oui, Zadkine, excuse-moi : sculpteur, vous avez le culte de la matière et des formes, dépouilles mortelles que vous suivez, avec l’espoir d’une survivance, d’une transfiguration, “tel qu’en lui-même, enfin l’éternité le change” ; moi, je le vois encore, hanté par la chair, par l’hallucination du désir, des jambes écartées, des femmes étalées, des croupes obscènes, appel magnifique et terrible de la bête humaine, à quoi répondait triomphalement sa grande et simple bonté.“
    W. Mayr, Souvenirs sur Pascin.

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