VU PAR MON CHIEN

29,00 

L’Anthologie Érotique du Cinéma Clandestin 7
80 minutes de film plus en bonus : 140 images extraites de nos archives et un entretien entre Christophe BIER, Jean-Pierre BOUYXOU et Alexandre DUPOUY autour de V. P. M. C.
Ce film est un document exceptionnel et unique. Pendant les trois décennies des Trente Glorieuses, un amateur, parisien, oisif et fortuné, s’obstine, dès que l’opportunité se présente, à filmer les dessous de femmes qu’il croise dans la rue. Insatisfait de ses débuts pourtant prometteurs, il conçoit au milieu des années soixante une machine infernale, probablement un étui à saxophone qu’il tient nonchalamment à bout de bras. En toute discrétion et impunité, l’étui est truffé d’une caméra qui transmet une vision impudique saisie à quelques centimètres du sol. Il baptise donc ses films inavouables : Vu par mon chien.
En fait, contrefaisant les chevaliers de la Table ronde, notre flâneur singulier poursuit sans relâche la quête de son graal pervers ; obtenir, non pas des images des dessous de robes qu’il capture à foison avec assurance et dextérité, mais l’image rare de « l’absence » de dessous.
Ce défilé insolite de lingerie incrusté d’édifiantes statistiques sur l’intimité féminine permettra-t-il à notre sympathique voyeur de parvenir à ses fins, démontrant ainsi que « La » libertine n’est pas une chimère ?

VU PAR MON CHIEN
L’Anthologie Érotique du Cinéma Clandestin 7

80 minutes de film plus en bonus : 140 images extraites de nos archives et un entretien entre Christophe BIER, Jean-Pierre BOUYXOU et Alexandre DUPOUY autour de V. P. M. C.
Ce film est un document exceptionnel et unique. Pendant les trois décennies des Trente Glorieuses, un amateur, parisien, oisif et fortuné, s’obstine, dès que l’opportunité se présente, à filmer les dessous de femmes qu’il croise dans la rue. Insatisfait de ses débuts pourtant prometteurs, il conçoit au milieu des années soixante une machine infernale, probablement un étui à saxophone qu’il tient nonchalamment à bout de bras. En toute discrétion et impunité, l’étui est truffé d’une caméra qui transmet une vision impudique saisie à quelques centimètres du sol. Il baptise donc ses films inavouables : Vu par mon chien.
En fait, contrefaisant les chevaliers de la Table ronde, notre flâneur singulier poursuit sans relâche la quête de son graal pervers ; obtenir, non pas des images des dessous de robes qu’il capture à foison avec assurance et dextérité, mais l’image rare de « l’absence » de dessous.
Ce défilé insolite de lingerie incrusté d’édifiantes statistiques sur l’intimité féminine permettra-t-il à notre sympathique voyeur de parvenir à ses fins, démontrant ainsi que « La » libertine n’est pas une chimère ?

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